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LES RIVERAINS DE LA BUTTE-AUX-CAILLES

Aimer son quartier et protéger son cadre de vie

Actions spécifiques, Gestion des clients devant les bars: Service de boissons sur la voie publique

34 établissements ouverts jusqu’à 02H00 sont concentrés dans le quartier

Et désormais une « cave à bière et spiritueux » créée dans la résidence de logement social du 18 rue de la Butte aux Cailles

 

           Notre cher coiffeur du 18 rue de la Butte aux Cailles a quitté fin mai 2014 le cœur de la Butte aux Cailles pour aller rue Bobillot.

 

           Sa boutique fait partie d’une résidence de logement social appartenant à l’organisme « Toit et Joie », qui est réputé pour sa finalité de protection des familles. 

 

         Le 20 juin, les nouveaux locataires de la boutique ont posé leur enseigne  et surprise, on y lit : « Cave à bières - Spiritueux »…

 

           Cette situation a sans doute été créée en dehors de la volonté de « Toit et joie », qui est un organisme subventionné par des fonds publics de manière directe ou indirecte et ne peut donc risquer de contribuer à un phénomène qui trouble l’ordre public par les baux commerciaux qu’elle contracte.

 

           Il appartient donc à cet organisme de logement social de prévenir les risques de trouble affectant:

 

           - Le quartier dans son ensemble : l’annulation de l’arrêté préfectoral rend possible la vente par cette boutique de boissons à emporter, dont la consommation se ferait dès l’heure apéritive près de la résidence ou plus loin, mais avec l’inéluctable conséquence d’accroître le vacarme et de générer de l’insalubrité.

 

           - Ses propres locataires des appartements de la résidence : l’organisme de logement social est, comme tout bailleur, redevable d’une obligation de jouissance tranquille auprès de ses locataires. Il a, en particulier, l’obligation de veiller à ce que ses propres locataires ne créent pas de nuisances les uns envers les autres.

 

 

           La mairie du 13è ne devrait pas rester insensible à la situation à deux titres :

         - en tant que partie prenante du logement social;

           - en tant que responsable de la charte de quartier. Ce d’autant plus que la boutique a des liens incontestables avec le bar d’à côté, « le sputnik » : l’un des propriétaires de ce bar (et de la boutique ?) est le président de l’association des commerces promotrice de la charte en partenariat avec Monsieur Coumet.

 

            Un peu de cohérence ne nuirait pas, même à la Butte aux Cailles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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