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LES RIVERAINS DE LA BUTTE-AUX-CAILLES |
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Aimer son quartier et protéger son cadre de vie |
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Nos actions auprès de la Mairie du XIIIème (suite): Réunions du comité de suivi de la charte de la Butte-aux-Cailles:Les « méduses » débarquent à la Butte aux Cailles : La bonne nouvelle |
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En 2018, la mairie du 13è a désigné M. Stéphane FERRIER délégué-nuit pour le quartier de la Butte aux Cailles. Ce fût le démarrage de discussions équilibrées au sein du comité de suivi de la chartre du quartier, les commerçants en venant à d’ailleurs les bouder et à exercer leur lobbying par d’autres voies.
Pour autant, notre demande de mesurage Bruitparif a été traitée, soumise à l’arbitrage du maire après une réunion de mars 2019 où la mairie centrale était représentée. Et il a été décidé que les méduses Bruiparif allaient débarquer à la Butte aux Cailles, pour nous, comme de véritables sauveurs.
Effectivement, ces dispositifs ont tous les atouts d’une aide puissante pour tous ceux qui n’ont pas peur de faire objectiver les niveaux sonores du quartier.
Grâce à un travail assidu, Bruitparif qui est une association d’intérêt public par ailleurs plus axée sur la question des bruits routiers ou aériens, a vu l’utilité sociale de créer un système spécifique pour les nuisances dans les quartiers dits « festifs ».
Ces dispositifs ont vocation à (cf tract).
L’un des aspects techniques remarquable des « méduses » est d’associer à l’enregistrement des données des niveaux sonores, un système de photographies des sites qui permet de situer sans ambiguïté l’origine des nuisances sur la voie publique. On peut ainsi, par exemple, établir un rapport entre une émergence et l’apparition de personnes sur la voie publique ou encore que l’établissement source a sa devanture grande ouverte, annihilant la distinction entre le dehors et le dedans.
Une fois le principe de l’installation des méduses annoncé comme acquis par le référent-nuit M. FERRIER en mars 2019, nous pensions que l’installation pourrait être faite au moins avant l’été. Mais c’était sans compter l’influence du lobbying des exploitants qui redoutent l’objectivation des nuisances et de leur source. M. FERRIER a réuni le comité de suivi le 17 juin pour un simple « point sur les méduses ». Les commerçants étaient cette fois présents. Et il est apparu que le projet risquait d’être transformé à notre détriment par un appauvrissement des fonctionnalités des méduses.
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